L’arrêt de la consommation d’alcool est une très bonne résolution à prendre. Si les actes accompagnaient la volonté, le corps pourrait être épargné de bien de maux. Cependant, une fois que l’on arrête sa consommation régulière d’alcool, le corps n’y reste pas insensible. Pour en savoir plus sur les réactions du corps, lisez ce qui suit.
La réaction sur la peau
La partie du corps la plus exposée aux effets de la consommation régulière de l’alcool est la peau. Des rougeurs (couperoses) peuvent apparaître sur l’épiderme des personnes ayant une addiction pour l’alcool. Ces rougeurs sont causées par la dilatation de la paroi des vaisseaux sanguins sous l’effet de l’alcool.
Dès que la consommation est stoppée, le processus de régénération de la peau s’ensuit naturellement et les rougeurs se mettent à disparaître progressivement. L’évolution suit son cours tant que le buveur applique un régime d’abstinence ou de réduction drastique de sa consommation d’alcool. L’on doit faire très attention à sa peau parce qu’elle est extrêmement fragilisée par la consommation régulière de blanche. Ainsi, l’usage des crèmes suggérées par le dermatologue et la non-exposition excessive au soleil sont des mesures supplémentaires à prendre.
Une perte de masse grasse
La composition de l’alcool est riche en calories et en lipides. En conséquence, l’arrêt de l’alcool provoque la diminution de la masse graisseuse et du poids.
Aussi, les médicaments prescrits pour le sevrage (anti-cravings) participent à la réduction de l’envie de boire et de manger. C’est un autre facteur favorable à la perte de masse grasse dans le cadre du sevrage.
Le buveur perdra par conséquent en masse grasse et en poids selon la période passée sans alcool. Toutefois, l’alimentation reste à surveiller pour deux grandes raisons : la malbouffe et la consommation de sucre. Ces deux seuls éléments suffisent à entraver la perte de masse grasse. À ce propos, La Gramière propose des informations plus abouties sur le sujet ainsi que d’autres astuces très pratiques.
Il convient par ailleurs de faire très attention au sucre puisqu’il libère l’hormone de plaisir et entraîne un éventuel sentiment d’euphorie. Une autre dépendance est alors à redouter.
Diminution de la taille du ventre
Suivant la description typique de l’alcoolique et plus particulièrement des buveurs de bière, ce sont des personnes plutôt minces avec un gros ventre. La rétention d’eau par l’organisme en réponse à la déshydratation de l’organisme due à l’alcool en est la raison. D’où le gonflement de l’abdomen ou du ventre. Il est donc évident qu’a l’arrêt de l’alcool, ce volume baisse progressivement.
Cependant, l’option du sevrage progressif est la mieux conseillée puisqu’en cas d’arrêt trop brutal, le corps est fortement exposé.